Terme incontournable en matière d'électricité solaire, l'autoconsommation est encouragée par les pouvoirs publics au moyen de primes.
Produire de l'électricité 100 % renouvelable directement sur son toit : voilà la promesse des panneaux photovoltaïques qui séduit des milliers de Français. L'installation capte les rayons du soleil pour utiliser leur énergie et créer un courant alternatif via un onduleur ; courant exploitable pour l'éclairage ou alimenter des équipements électriques. Deux possibilités pour le ménage qui dispose des panneaux :
- Revendre la totalité de la production : l'électricité est achetée par EDF et injectée dans le réseau.
- Consommer l'électricité : en cas de surplus, celui-ci est revendu à EDF.
C'est ce second cas que l'on appelle « autoconsommation ». Il s'agit donc d'utiliser l'énergie solaire à une fin domestique, pour faire fonctionner ses appareils électroniques par exemple. Avantage : une électricité verte, locale et gratuite, qui permet de rentabiliser l'investissement initial au bout de 10-15 ans.
L'autoconsommation peut être individuelle (en maison) ou collective (en immeuble). Son rendement est optimal en journée durant les heures pleines, lorsque le soleil donne au maximum. À l'inverse, sans dispositif de stockage (batteries), il n'est pas possible d'autoconsommer pendant la nuit.
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